Le 15/06/2022, par Pasteur Ilisa Samuel (notre Timothée)
Il partage les activités de PCV avec 40 participants à Ingbokolo (frontière sud Soudan).
Ces gens étaient assis, bien disposés devant nous pour suivre PCV.
Il ne s’agit pas d’un aveu mais ils regrettent d’avoir commis les erreurs courantes. Ils regrettent de n’avoir pas compris les différents modes des comportements des enfants.
Un papa a demandé : « Où étaient ces enseignement depuis tout ce temps ? VLC, SPC et PCV… »
Nous avons marché longtemps avec hésitation, croyant que nous attendions d’aller au ciel, or nous n’avions pas saisie notre identité (VLC). Chacun cherchait sa propre victoire dans le couple (SPC). Aujourd’hui, nous réalisons que nous irritons nos enfants, remplissons leurs réservoirs d’émotions négatives.
Un autre papa, mécanicien de formation, dira qu’il faudrait que cet enseignement soit dispensé dans toutes les options comme cours pour préparer des bons cadres. Ils font beaucoup de reproches à leurs enfants. Maintenant ils remercient Dieu d’avoir été corrigés !
Nous avons deux licenciés : l’un en sciences de l’éducation, l’autre en psychologie. Ils déclarent que cet enseignement ne peut pas se retrouver dans n’importe quel niveau d’étude supérieur. Je leur ai répondu que ça dépasse même notre entendement, pour nous, de la Théologie.
Hier, deux mamans ont confessé en pleurant avoir critiqué leurs enfants et leur avoir souvent collé des étiquettes.
Nous venons de terminer la première session en trois après-midis de dimanche.
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